Mais surtout, du 24 décembre aux premiers jours de janvier, les traditionnels « festejos de Zapote » avec des stands, des manèges, de l’alcool à flot et des corridas improvisées.
Puis les villes de la vallée centrale se vident pour remplir les plages…et c’est aussi le début des soldes dans les magasins.

la situation générée par ce conflit est limitée à l’Ile Calero, une zone de mangroves dans le nord du Costa Rica, inhabitée, éloignée de toute ville ou village et loin de toutes les destinations touristiques. Cette zone a été déclarée d'importance mondiale pour sa haute valeur écologique et en tant que telle est une zone protégée. C'est dans cette zone que le Nicaragua réalise des travaux de dragage du fleuve frontalier du San Juan, en pénétrant dans les zones humides appartenant au Costa Rica en effectuant même des tailles claires dans un bois se trouvant sur le territoire du Costa Rica, où en plus des dommages environnementaux précités, les Nicaraguayens occupent des campements illégaux. " Notre pays, en conformité à sa tradition de paix, - sans armée depuis 1948 - et respectueux du droit international, a lancé un appel aux institutions multilatérales pertinentes pour résoudre cette situation par la voie du dialogue. En première instance, la demande a été présentée devant l'Organisation des États américains, où la demande costaricienne a été appuyée par une large majorité. Conformément à sa politique de protection de l'environnement et la biodiversité, le Costa Rica a également eu recours à la Convention de Ramsar sur les zones humides, puisque comme le territoire en question est un refuge de faune sauvage, inscrit à la Convention depuis 1996 et d’importante valeur environnementale, car c’est un habitat pour les rapaces et les poissons Gaspar, un refuge pour les oiseaux migrateurs et résidents, les crocodiles et les caïmans et un corridor biologique pour tapirs et jaguars. L'action la plus récente du Costa Rica a été déposée devant la Cour internationale de Justice à La Haye, avec la demande expresse à cet organisme de freiner les dommages environnementaux. Pour le Costa Rica le seul moyen de résoudre ses différends avec la République du Nicaragua, à laquelle il est lié par de forts liens historiques et d'amitié, passe par les voies pacifiques qu’offrent les instances diplomatiques... Notre pays est une destination qui peut être appréciée dans la paix et la tranquillité. Ce différend n'a pas altéré les activités commerciales, et n’a pas non plus modifié la qualité, la sécurité et l’agrément des sites touristiques qui au cours des années ont bénéficié du choix de millions de visiteurs du monde entier. "

Sabine Bernert et Michel Denis-Huot vous ouvrent les portes d’une forêt luxuriante où se pressent pumas, capucins, paresseux, crocodiles, chauve-souris, aras et tant d’autres. À les voir s’ébattre en toute liberté, vous en oublierez que la plupart sont menacés de disparition. Ou peut-être sauront-ils vous convaincre mieux que des mots à quel point la biodiversité mérite d’être défendue.

*Rainforest Alliance ... À pour vocation de préserver la biodiversité et d'assurer des moyens de subsistance durables en transformant les pratiques agricoles, les pratiques commerciales et le comportement des consommateurs.

10 février 2010 : «Notre pays peut produire toute son énergie à partir de sources renouvelables d’ici à quatre ans, et être totalement autosuffisant», c’est l’objectif que Laura Chinchilla (élue dimanche dernier) a fixé pour le Costa Rica. Le président Arias avait lui, fixé à 2021 l’impact carbone zéro. Déjà le pays produit 90 % de son énergie par des centrales hydroélectriques. La géothermie liée à l’activité volcanique est la source principale envisagée. Mais, les nombreux Parcs Nationaux (où se situent de nombreux volcans) sont zones protégées et l’exploitation du sous-sol y est interdite…La nouvelle Présidente pense modifier certaines lois environnementales qu’elle juge trop contraignantes.
L’énergie solaire n’est pas en reste avec le projet d’équiper 15 000 écoles en panneaux solaires !